Ce Samedi 27 Février, Loana Petrucciani est sortie de son silence. En effet, cela fait une semaine que l’ancienne candidate du loft s’est faite hospitalisée. Toutefois, celle-ci rétablit la vérité sur ce qui s’est réellement passé… Il ne s’agissait pas d’une overdose au GHB. Mais plutôt d’une intoxication médicamenteuse.
Lundi passé, 22 Février, Loana avait été hospitalisée suite à une dite overdose au GHB. En effet, la jeune femme avait été retrouvé inerte dans sa chambre, et dans un état critique. Cette information avait été rapporté par le chroniqueur de Touche pas à mon poste, Guillaume Genton. Toutefois, ce n’est pas ce qu’a rapporté l’ancienne candidate du loft après s’être réveillée.
En effet, un communiqué est paru depuis l’hôpital psychiatrique où séjourne la quadragénaire. D’ailleurs, on pourra y lire qu’elle accuse son amie et agent Sylvie Ortega Munos. Qui plus est, dans le communiqué, Loana insiste qu’il ne s’agit pas d’une overdose, mais d’une intoxication médicamenteuse. Elle explique d’ailleurs qu’elle a été « enfermée dans une chambre blanche, sans télé, à regarder le plafond, à cause de la dose massive de médicaments. » Cette même dose de médicaments lui aurait été donné par son agent, pour « la faire crever ».
Petrucciani Loana : « Je ne suis pas dépressive ni à bout, au contraire. »
Tout d’abord, à la sortie du communiqué, l’ancienne candidate du loft explique qu’elle était sortie du coma après quelques heures seulement. Elle confie :
« Ils m’ont mise ici pensant que j’avais voulu faire une tentative de suicide. Ils ont enfin compris que j’avais juste demandé un calmant basique et qu’on avait voulu me faire bien pire. Et pas l’inverse. »
Rappelons nous qu’il y a quelques jours, Sylvie Ortega Munos avait bel et bien avoué : « Je ne fournis aucun médicament à Loana (…), avec l’autorisation des pompiers, quand elle fait une crise de tétanie en attendant les pompiers, ou un médecin, on lui donne un xanax sous la langue. »
En plus de cela, Loana Petrucciani confirme qu’elle aurait même des preuves. Il n’y avait aucune trace de drogue, tout ce qu’on a trouvé ce sont les traces d’une intoxication médicamenteuse.
« J’ai même les analyses pour le prouver. Ni alcool… Intoxication médicamenteuse !!! C’est tout. Je ne suis pas dépressive ni à bout, au contraire. » a t-elle déclaré.
Celle-ci aurait également mis les lumières sur le cocktail qui lui a été administré avant son coma : deux Temesta et deux Xanax (des anxiolytiques), et deux Imovane (un somnifère).
En plus de cela, la jeune femme a confié qu’elle était à bout.
« Entre le fait d’avoir failli crever, d’être enfermée depuis 5 jours en clinique psychiatrique et être prise pour une folle, ça fait beaucoup pour moi. »
Au final, seul le temps élucidera cette affaire, et reste à voir qui dit la vérité.