Une fois mis sur le bateau, il fallait les calmer et les rassurer. Ils leur parlèrent doucement pour les apaiser au mieux, ces animaux étant connus pour leur instinct sauvage très fort.
Désormais à l’abri de la noyade, les oursons étaient encore très faibles, froids et trempés, dans un lieu totalement inconnu. Ils étaient donc apeurés et désorientés.