Charlotte PONT
Le seul problème qui persistait était que ces filets n’étaient pas destinés à supporter des oursons, mais ils décidèrent de courir le risque. Il ne leur restait plus beaucoup de temps et les idées manquaient. Ils commencèrent avec le premier ours qui s’était accroché au bateau : la tâche s’avérait ardue au vu de son poids important.
Il fallait ensuite attraper le deuxième, qui était un peu plus éloigné du bateau. Après de longues minutes de lutte, ils mirent en sécurité le deuxième ourson sur le bateau également.
